Les sanctions sont nécessaires, mais ne sont pas une réponse à la bombe atomique
et sur l’exactitude de vingt années de révélations de la Résistance iranienne à ce sujet. Le choc résultant du rapport de l’AIEA a forcé la communauté internationale à réfléchir comment et avec quelle option il est possible de maintenir et garantir la paix et la sécurité internationales face au régime médiéval du guide suprême doté d’armes nucléaires.
Totalement effrayé et angoissé par les conséquences du rapport de l’AIEA, Khamenei dans son discours du 10 novembre à l’académie militaire de Téhéran a eu ouvertement recours à des menaces terroristes contre les Etats-Unis et leurs alliés, disant que le régime clérical réagira à toute attaque ou menace « par une réponse qui les éparpillera et les désagrègera de l’intérieur ». Dans une mesure de dissuasion, Khamenei a lancé, en menaçant tous ceux qui envisagent ou « imaginent » attaquer les mollahs atomiques, qu’ils « doivent s’apprêter à recevoir une gifle magistrale et un coup de poing en acier ».
A propos des options diverses pour neutraliser la menace nucléaire des mollahs, Maryam Radjavi, a déclaré : Non seulement à cause du peuple iranien, mais aussi à cause de l’humanité, de la paix et de la sécurité au Moyen-Orient, je préviens que les sanctions contre ce régime sont nécessaires mais ne sont pas la réponse aux armes atomiques. La réponse repose dans la « Troisième Voie », le renversement du régime des mollahs et l’élimination de ses centres nucléaires et terroristes. C’est pourquoi je souligne que la seule solution pour empêcher la dictature religieuse en Iran de se doter des armes nucléaires et la seule solution pour garantir la paix et la stabilité internationales est un changement de régime et un accueil favorable à un Iran démocratique et non nucléaire.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 11 novembre 2011