Brûler à l’acide le visage d’un écrivain afghan traduit la sauvagerie du régime des mollahs
En brûlant à l’acide le visage d’un écrivain et journaliste afghan le fascisme religieux au pouvoir en Iran montre sa sauvagerie sans borne.
Un régime qui ne supporte même pas la liberté d’expression et que l’on dénonce ses crimes dans un autre pays.
Maryam Radjavi a déclaré que la dictature religieuse ne connaissait aucune limite dans la terreur, les exécutions, le crime et la cruauté et qu’elle laisse ses empreintes dans toute la région : de l’attentat criminel contre le premier ministre libanais Rafic Hariri, jusqu’aux explosions, attentats et massacre des innocents en Irak, en passant par les complots et le terrorisme au Yémen, et les exécutions et les agressions contre les ressortissants afghans.
Mme Radjavi a appelé la communauté des nations à condamner les crimes du régime des mollahs en Iran et à l’étranger. La communauté internationale, a-t-elle dit, en particulier l’Union européenne et les Etats-Unis, se trouve soumise une véritable épreuve : la poursuite du silence et de l’inaction face au fascisme sanguinaire religieux ou répondre à la responsabilité que leur ont donnée la Charte des Nations Unies, les conventions et les traités internationaux face à ce régime.
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