Sommet mondial 2024 pour un Iran libre : vers une république démocratique
Le samedi 29 juin 2024 se tenait à Paris le Sommet mondial 2024 pour un Iran libre, parallèlement à l’immense manifestation des Iraniens à Berlin pour une république démocratique.
Dans cette manifestation, les Iraniens libres ont fait écho au cri de millions d’Iraniens, qui la veille, avec un grand « non » à l’ensemble du régime, ont fait échouer la mascarade électorale de Khamenei.
Le Sommet mondial pour un Iran libre, qui s’est déroulé sur trois jours du 29 juin au 1er juillet, a débuté par la projection époustouflante de 20 000 activités des unités de résistance à travers l’Iran en soutien au sommet.
Des centaines de personnalités politiques des États-Unis, d’Europe, du Canada, d’Amérique centrale et du Sud et des pays arabes – comme d’anciens présidents, vice-présidents, premiers ministres, ministres – ainsi que des parlementaires en fonction, des juristes et défenseurs des droits humains, ont assisté à ce sommet mondial. Dans leur soutien à la juste résistance du peuple iranien contre le fascisme religieux, beaucoup ont souligné la nécessité d’adopter une politique de fermeté contre la dictature terroriste des mollahs.
Mike Pence, l’ancien vice-président des États-Unis, a mis en avance l’importance de renforcer la résistance du peuple iranien et a déclaré : « Grâce à vous tous, le vent du changement souffle en Iran plus fort que jamais. » Il a salué le fait que le Conseil national de la Résistance iranienne est prêt à prendre la direction des affaires avant de déclarer : « Je veux que le monde entier comprenne que l’OMPI et le CNRI partagent les mêmes valeurs que les nations occidentales chérissent. »
De son côté, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo a déclaré : « L’OMPI apporte une solution à de nombreux problèmes, non seulement pour l’Iran, mais aussi pour l’ensemble du Moyen-Orient. Il existe une alternative. »
Stephen Harper, l’ancien Premier ministre canadien, a mis en valeur la capacité du CNRI en tant qu’alternative : « L’alternative au régime n’est pas le chaos, c’est l’opposition démocratique et bien organisée de l’Iran.»
John Bercow, ancien président de la Chambre des communes britannique, a salué le plan en dix points du CNRI : « Il s’agit en fait de l’une des déclarations d’alternative les plus éloquentes, les plus articulées et les plus complètes qu’un démocrate puisse souhaiter voir. » Il a relevé l’accent mis dans le plan sur « la souveraineté du peuple, le droit du peuple à choisir son parlement et à choisir ses gouvernants ».
L’ancienne Première ministre britannique Liz Truss a déclaré : « Nous ne devrions jamais abandonner l’idée d’un Iran libre et démocratique. » Elle a appelé à une pression accrue sur le régime et à un soutien en faveur de ceux qui recherchent le changement : « Nous devons intensifier nos efforts pour mettre fin au financement du régime iranien et renforcer les sanctions à son encontre.»
Lors du premier jour du Sommet pour un Iran libre, dans son discours adressé à ses compatriotes, à la grande manifestation de Berlin et aux Moudjahidines d’Achraf-3, Maryam Radjavi a félicité le peuple iranien pour la victoire du boycott de la mascarade électorale du régime.
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