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24 Juil 2024

Session du Conseil national de la Résistance iranienne – Juillet 2024

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Session du Conseil national de la Résistance iranienne – Juillet 2024

Le Conseil national de la Résistance s’est réuni les vendredi 5 et samedi 6 juillet 2024 en présence de Maryam Radjavi.
Après l’hymne national « Ô Iran » pour l’ouverture de la session, Maryam Radjavi a souligné que la mascarade électorale du régime était le résultat des impasses et des grands échecs qui assaillent la dictature religieuse. Le peuple iranien a déclaré de la manière la plus claire qu’il votait pour le renversement, qu’il n’y a pas de place pour les élections dans ce régime et que c’est le temps de la révolution, a-t-elle ajouté.
Au cours des deux jours de débats, les membres du Conseil ont souligné que derrière l’énormité du scandale des fraudes électorales ainsi que la lutte pour le pouvoir et la richesse entre les factions du régime lors de la campagne, la principale réalité politique était la déstabilisation du système sous l’impact de la mort d’Ebrahim Raïssi et des coups de massue successifs du boycott des urnes par le peuple iranien.
Les membres du CNRI ont présenté leurs félicitations à Maryam Radjavi pour la tenue du Sommet mondial pour un Iran libre et la grande manifestation des Iraniens à Berlin, qu’ils ont salués. Ils ont applaudi aux 20 000 pratiques révolutionnaires et plus de 1700 activités diverses des unités de résistance à travers tout l’Iran. Ils ont enfin remercié les comités organisateurs, ainsi que les responsables et les partisans de la Résistance iranienne, pour avoir rendu possibles ces grands événements grâce à leur soutien total et leurs efforts sans compter.
La session du CNRI qui coïncidait avec l’échec de Khamenei en raison du boycott écrasant de sa farce électorale, et l’organisation d’une manifestation massive à Berlin et du sommet mondial pour un Iran libre, a estimé que ces évènements marquaient la principale polarisation dans la sphère politique iranienne. La session a précisé que cela symbolisait la confrontation entre le camp du peuple et de la liberté contre celui de la tyrannie religieuse dans la poursuite de la lutte historique contre « le chah et les mollahs ».
Un processus qui s’est forgé après la révolution février 1979 et sur la base de ses conditions objectives et subjectives dans la résistance contre la tyrannie religieuse que Massoud Radjavi a décrite comme « la résistance organisée la plus grande, la plus longue, la plus complexe et la plus sanglante de l’histoire de l’Iran », avec pour phare le mot d’ordre « ni chah, ni mollahs ».

Maryam Radjavi

Maryam Rajavi

Présidente-élue du Conseil
national de la Résistance
Iranienne

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