Le débat sur le « terrorisme d’État » du régime iranien « à la lumière des récentes attaques en Europe » appelle à prendre des mesures
Bien que le débat sur le « terrorisme d’État » du régime iranien « à la lumière des récentes attaques en Europe » qui s’est déroulé au Parlement européen soit une initiative très positive, étant donné qu’au fil des ans plusieurs tribunaux européens ont reconnu le rôle actif du régime iranien, de ses dirigeants et ses organes dans des crimes terroristes, le temps est maintenant venu d’agir.
La mesure minimale, qui a longtemps été retardée, consiste à désigner les gardiens de la révolution et le ministère du Renseignement comme des entités terroristes et d’expulser leurs agents. Une autre étape nécessaire est que les pays européens ferment les ambassades et autres centres officiels et officieux du régime iranien.
Dans deux semaines, ce sera le premier anniversaire de l’attentat contre le Dr Vidal Quadras, ancien vice-président du Parlement européen, commis à Madrid par une bande de criminels liés au régime iranien. Il est temps de mettre fin à l’inaction et de demander des comptes au régime pour ses crimes.
L’exportation du terrorisme, les prises d’otages et le bellicisme sont l’autre face des crimes odieux commis par les dirigeants iraniens, y compris les crimes contre l’humanité et le génocide. La répression, la torture et les exécutions sont les principaux instruments du fascisme religieux pour contrer la révolte populaire et son renversement.
L’exécution d’au moins 147 prisonniers au mois iranien de Mehr (22 sept-21oct) établit un nouveau record de crimes, qui n’a pas d’équivalent ces dernières années, même sous la présidence d’Ebrahim Raïssi, le bourreau du Massacres de 1988 en Iran. A son point le plus faible, la dictature religieuse n’a trouvé d’autre solution que d’intensifier les massacres en Iran ainsi que le terrorisme et le bellicisme à l’étranger.
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