Le droit du peuple iranien à la résistance et à la liberté doit être reconnu
Le secrétaire d’État américain a insisté que, lorsque l’Amérique s’associait à des ennemis tels que les mollahs, alors ces ennemis “avançaient”.
Maryam Radjavi a salué la décision des États-Unis de s’éloigner des politiques dont les premières victimes ont été le peuple iranien et la Résistance iranienne.
Elle a une nouvelle fois souligné le fait que l’accès aux armes de destruction massive, les violations des droits de l’homme, l’exportation de l’intégrisme et du terrorisme, constituent les piliers du régime théocratique au pouvoir en Iran.
La solution ultime pour se débarrasser du fascisme religieux des mollahs en Iran, n’est autre que le changement de ce régime illégitime par les mains du peuple iranien et de sa résistance.
Reconnaître le Conseil national de la résistance iranienne, seule alternative démocratique à la dictature religieuse et terroriste en Iran, est indispensable pour rectifier et mettre fin à la désastreuse politique d’apaisement menée par les États-Unis au cours des quatre dernières décennies. Le régime qui détient le record du monde des exécutions ne comprendra que le langage décisif de la fermeté.
Rappelant au nom d’une résistance qui réclame, depuis 1981, un embargo sur les armes et le pétrole de la dictature religieuse des mollahs, Maryam Radjavi a réitéré la nécessité de prendre les mesures suivantes:
1. La reconnaissance du droit du peuple iranien à la résistance pour renverser le fascisme religieux des mollahs et pour obtenir la liberté;
2. L’inscription comme entités terroristes par les Etats-Unis et l’Union européenne, du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) et du Ministère des renseignements et de la sécurité (Vevak) dans leurs intégralités;
3. L’expulsion des agents des services de renseignements et des mercenaires de la force terroriste Qods des mollahs des États-Unis et de l’Europe;
4. Le renvoi du dossier des violations des droits de l’homme en Iran au Conseil de sécurité des Nations unies après 65 condamnations des Nations unies;
5. Le soutien du renvoi du dossier du massacre de 1988 des prisonniers politiques en Iran à une Cour internationale de Justice;
6. Sortir le régime illégitime des mollahs de l’ONU et reconnaître la représentation de la juste résistance du peuple iranien;
7. L’expulsion avec fermeté des forces affiliées au pouvoir iranien depuis la Syrie, l’Irak, le Yémen, le Liban et l’Afghanistan;
8. Contraindre le gouvernement irakien à verser une indemnité pour les biens, le matériel, les armes et les camps que l’OMPI et l’Armée de libération nationale iranienne (ALNI) avaient entièrement payé, documents à l’appui disponibles.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 11 janvier 2019