Le Conseil national de la Résistance iranienne espère des « répercussions pour la tyrannie théocratique »
La présidente du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) Maryam Rajavi a qualifié dans un communiqué la mort du président Raïssi de « coup stratégique monumental et irréparable porté au guide suprême des mollahs, Ali Khamenei, et à l’ensemble du régime, connu pour ses exécutions et ses massacres ». Cet événement « déclenchera une série de répercussions et de crises au sein de la tyrannie théocratique, ce qui incitera les jeunesses rebelles à passer à l’action, espère-t-elle.
Le CNRI est l’une des principales organisations d’opposition hors d’Iran. Il est la vitrine politique de l’Organisation des moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI ou MEK), qui accuse le président défunt d’avoir joué un rôle clé dans l’exécution de milliers de prisonniers d’opposition, dont de nombreux membres du MEK, en 1988, alors qu’il était procureur adjoint de Téhéran.
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