Maryam Radjavi : Les lourdes peines de prison pour les militants politiques sont inhumaines et il faut les condamner
MM. Hachem Khastar, Abdol-Rassoul Mortazavi, Mohammad Nourizad, Mohammad-Hossein Sepehri, Hachem Rajai, Mohammad Hossein Pour-Gonabadi et Morteza Qassemi, ainsi que Mme Fatemeh Sepehri ont été condamnés à de nombreuses années d’exil intérieur et à l’interdiction de quitter le pays. Un certain nombre d’entre eux avaient été arrêtés à Machad en août dernier et sont actuellement incarcérés.
Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a condamné le pouvoir judiciaire du régime clérical pour avoir prononcé ces longues peines de prison et a estimé qu’il s’agit d’un nouvel exemple de la conduite répressive et inhumaine de la dictature religieuse qui doit être renversée dans son intégralité.
Lors des soulèvements de novembre 2019 et janvier 2020, le peuple iranien a scandé « à bas le principe du guide suprême », » A bas Khamenei, Rohani ! », exigeant le renversement du régime. En tant que telles, les relations économiques et politiques avec les mollahs sont injustifiées et illégitimes. Tout investissement dans ce régime moribond est voué à l’échec.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 4 février 2020
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