Maryam Radjavi : Norouz annonce le soulèvement qui renversera la tyrannie religieuse en Iran
Pour l’instauration d’une république démocratique, indépendante et fondée sur la séparation de la religion et de l’État Pour un Iran libre sans chah ni mollah
Discours des vœux de Norouz 1400, le Nouvel An iranien
Chers compatriotes,
Mères et pères des martyrs,
Vaillantes unités de résistance,
Insurgés déterminés à lancer davantage de soulèvements,
Foules qui aspirent à la liberté dans les villes rebelles,
Joyeux Norouz de l’année 1400 !
Que cette année soit l’année des soulèvements qui renverseront le régime !
Le tic-tac de l’heure annonçant l’arrivée de la nouvelle année retentit dans les pas des insurgés qui aspirent à renverser la tyrannie religieuse et à instaurer une république démocratique, indépendante et fondée sur la séparation de la religion et de l’État. Pour un Iran libre sans chah ni mollahs et qui ne s’appuie pas sur la tyrannie.
Que notre peuple héroïque soit heureux dans sa quête du printemps de la liberté.
Voici comment les Iraniens entendent l’arrivée du printemps dans le tic-tac annonçant la nouvelle année. Et les mollahs entendent le pas des insurgés qui approchent pour renverser l’hiver de l’oppression, de la pauvreté et du pillage. Ils approchent pour bâtir un nouvel Iran, florissant et prospère, brillant et heureux.
Les perspectives de la nouvelle année
Au cours de l’année écoulée, deux virus sinistres, le coronavirus et le virus de la dictature religieuse, se sont abattus sur notre nation pour étendre les ténèbres et la mort, pour éteindre chaque flamme et mouvement et répandre le deuil. Mais les insurgés et les unités de résistance ont maintenu la flamme allumée et, à la fin de l’année, elles se sont propagées à Saravan et à travers le Sistan-Baloutchistan.
Les pauvres et les travailleurs n’ont cessé de protester tout au long de l’année. Le régime effrayé et acculé dans une impasse, se réjouissait du changement de gouvernement aux États-Unis. Le peuple iranien s’est battu contre la maladie, la pauvreté et la faim et continue de le faire.
Mais il est certain que l’Iran se lèvera et qu’il terrassera les deux virus funestes.
L’année iranienne 1400 (20 mars 2021-20 mars 2022) est l’année des flammes des soulèvements qui vont jaillir des cendres de la maladie et de la répression ; c’est l’année où les Iraniens vont se soulever à nouveau pour renverser ce régime.
Sous des auspices aussi favorables, je souhaite un joyeux Norouz à tous ceux qui luttent pour la liberté et à tous les insurgés qui forgent la victoire.
Et je souhaite une bonne année et un joyeux Norouz aux jeunes dévoués qui risquent leur vie chaque jour dans les unités de résistance et aux résistants qui endurent les souffrances de l’emprisonnement et de la torture dans les cachots de Khamenei,
Et je souhaite une bonne année et un joyeux Norouz à Massoud Radjavi, le dirigeant de la Résistance iranienne, qui conduit l’immense force de révolte au sein de la société vers le soulèvement pour renverser la tyrannie.
Et j’adresse mes voeux les plus sincères aux membres du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), aux partisans de la Résistance et du CNRI à travers le monde.
En ce début d’année, je rends hommage aux prisonniers politiques exécutés, en particulier aux braves qui ont résisté et n’ont pas plié, comme Mustafa Salehi et Navid Afkari. Je rends hommage aux travailleurs innocents assassinés, en particulier les petits transporteurs de carburants baloutches et les petits porteurs de charges kurdes, les koulbarans, abattus par les gardiens de la révolution de Khamenei. Nous rendons hommage aux mères de tous les martyrs, en particulier aux mères des 1500 martyrs du soulèvement de novembre 2019.
Et nous saluons la mémoire du héros national, le pilote Moudjahidine du peuple, le colonel Behzad Moezzi, et tous les Moudjahidine du peuple décédés durant l’année écoulée, en particulier les neuf grands qui sont décédés à Achraf-3 en raison du coronavirus.
En ces premiers instants de l’année, nous remercions Dieu parce que les membres de l’OMPI à Achraf-3 ont pu traverser la pandémie sains et saufs et collectivement grâce au dévouement des membres et des responsables de l’organisation et grâce au soutien sans faille de leurs partisans. Ils ont ainsi passé la tête haute une nouvelle épreuve tumultueuse et ont pu vivre pleinement l’année qui vient de s’écouler.
Saluons la mémoire du poète et écrivain Hamid Assadian, membre éminent de l’OMPI, qui avait écrit sur 100 printemps :
En ce printemps agréable, des odes émergent
de l’eau et des rêves – et dans les vents et les souvenirs
on entend retentir la voix d’une centaine de milliers [de martyrs].
…
Regarde
Regarde comment cent printemps
arrivent
chacun plus printanier que l’autre.
Boycott généralisé de la farce électorale
Chers compatriotes,
Aujourd’hui, la dictature religieuse connait une situation désastreuse comme jamais au cours des 40 dernières années; le gouvernement de Rohani est littéralement paralysé. Malgré tous les chiffres truqués, les élections législatives des mollahs ont connu le taux de participation le plus bas des 40 dernières années.
Khamenei a choisi un gardien de la révolution, Mohammad Reza Ghalibaf, à la présidence du parlement des mollahs. C’était un premier pas dans le sens de contracter le pouvoir pour en faire un seul bloc. C’est ce dont Khamenei a besoin pour la survie de son régime et préserver sa propre hégémonie.
C’est pourquoi il doit éliminer la faction soi-disant réformatrice qui fonctionne comme un fusible. Donc, cela démontre clairement le bien-fondé de la solution offerte par la Résistance iranienne, à savoir la stratégie du renversement par des soulèvements populaires.
La Résistance iranienne a toujours boycotté les farces électorales de la théocratie au cours des 40 dernières années. A chaque fois, de plus en plus de groupes, de partis et de couches sociales ont compris la justesse de cette position et ont rejoint le boycott.
Le paradoxe de Khamenei c’est qu’il veut à la fois des élections dynamiques et placer un candidat à ses ordres. Mais la farce électorale de la présidentielle n’a aucune légitimité aux yeux du peuple iranien. Le boycott national de cette élection par le peuple iranien est l’autre face du soulèvement et une autre réponse aux meurtres de 1 500 manifestants en novembre 2019.
Le peuple iranien a dit non et continue de dire non au régime des mollahs, non au fascisme religieux, non au despotisme, à l’oppression et au pillage. Et oui à la liberté et aux élections libres et oui à une république démocratique.
Chers compatriotes,
Tout au long de l’année écoulée, les impasses du régime ont émergé les unes après les autres à certaines occasions.
Dans le cas de l’élimination du pasdaran Mohsen Fakhrizadeh, le plus haut expert de la fabrication de l’arme atomique du régime, son ministre du Renseignement a reconnu que cette opération avait été menée par un agent infiltré dans les gardiens de la révolution. Cet incident a clairement montré le vide du régime, l’escalade de la guerre pour le pouvoir et la désintégration du système.
Au niveau régional, la stratégie d’exportation de l’intégrisme religieux et du terrorisme a été durement touchée par les soulèvements des peuples irakien et libanais. D’autant plus que le régime ne peut combler le vide laissé par la mort de Qassem Soleimani.
Dans le domaine économique également, les experts du régime ont reconnu à plusieurs reprises que le régime a touché le fond. Mais la vérité va encore plus loin: c’est le tocsin du renversement des mollahs qui retentit.
Les conditions révolutionnaires de la société
Dans ces circonstances, Khamenei et Rohani se félicitent vivement de la propagation du coronavirus dans tout l’Iran. Leur stratégie inhumaine a été d’ouvrir la porte à la propagation de la maladie qui à ce jour a coûté la vie à plus de 235 000 de nos compatriotes.
Dans la tragédie de la destruction d’un avion de ligne ukrainien, le premier jour, personne ne pouvait concevoir que l’avion avait été abattu par le régime. Dans le cas de la pandémie, au début, il était inconcevable pour beaucoup que Khamenei et Rohani envoient délibérément des gens à l’abattoir.
Mais la Résistance iranienne a révélé cette sinistre stratégie dès le début. Comme l’a dit Massoud Radjavi : « pour protéger le régime du danger du soulèvement et du renversement, Khamenei et Rohani ont adopté la stratégie des morts massives en envoyant les gens sur les champs de mines du coronavirus. »
Et aujourd’hui, c’est la presse officielle qui écrit: « Nous cherchions un sauveur pour détourner l’attention des gens des événements de novembre et de décembre. Et le coronavirus est arrivé, laissant les gens déprimés, pris au piège dans une pièce face à un lion affamé. »
Depuis le début de la crise du Covid-19 en février 2020, le dirigeant de la Résistance a annoncé des mesures spécifiques pour faire barrière au coronavirus, notamment :
« Khamenei doit allouer pour la santé et l’hygiène du peuple iranien les 100 milliards de dollars de sa fortune et les actifs de la Fondation nommée « Siège exécutif de l’ordre de Khomeiny » ainsi que les richesses faramineuses accumulées dans les coopératives des pasdarans, de la milice du Bassidj, des forces de sécurité, de la Fondation des déshérités et l’argent qu’il dépense en Irak, en Syrie, au Yémen, à Gaza et au Liban.
Les budgets des programmes nucléaires et de missiles du régime, ainsi que l’argent et les moyens du Croissant-Rouge servant à l’exportation de l’extrémisme et du terrorisme, doivent être consacrés aux soins des malades du coronavirus. Les actifs du conglomérat Astan-Qods-Razavi, dédiée à l’Imam Reza [8e des 12 Imams chiites], qui sont sous le contrôle de Khamenei, doivent servir immédiatement à payer les salaires des ouvriers, des enseignants et des fonctionnaires et couvrir le coût de leurs soins médicaux. Il faut immédiatement libérer tous les prisonniers, en particulier les prisonniers politiques. »
A présent, on peut conclure qu’elle aurait été la différence si le régime avait pris l’une de ces mesures.
Il est vrai que le coronavirus et le virus de la dictature religieuse sont des alliés. Khamenei a même endossé le scandale de sa politique inhumaine en empêchant l’importation de vaccins en Iran.
Il y a moins de deux semaines, son ministre de la Santé a déclaré: « Nous sommes confrontés à une violente tempête au Khouzistan, qui s’avère plus grave que la tempête du virus de Wuhan. » Oui, c’est une tragédie douloureuse pour notre pays sous le régime des mollahs.
Au cours des 13 derniers mois, face à la dissimulation des mollahs, la Résistance iranienne a révélé quotidiennement le nombre réel de vies perdues à cause de la maladie dans chaque province du pays, et n’a pas permis que ces décès deviennent un chose triviale et une routine au jour le jour.
Malgré la maladie, la population a exprimé à plusieurs reprises sa colère dans les émeutes des prisons, dans les rassemblements et manifestations, dans les grèves d’ouvriers, d’éducateurs, d’enseignants, de retraités et de pensionnés, d’étudiants, d’agriculteurs et de marchands du bazar.
La réalité est que la société iranienne est dans une situation révolutionnaire. Et il ne fait aucun doute qu’elle est prête à renverser le régime.
Face à ce formidable potentiel explosif, les mollahs ont intensifié la répression, et lancé des vagues d’arrestations et d’exécutions collectives.
Le régime s’est mobilisé pour diaboliser l’OMPI et la Résistance iranienne et fomenter des complots terroristes à leur encontre. Il a misé sur la présidentielle américaine. Mais 2 mois après l’entrée en fonction du nouveau président américain, il est clair qu’un retour à l’équilibre précédent est impossible et que le régime n’aura pas la vie facile. Ses tirs de missiles en Irak et en Arabie saoudite ne résoudront aucun de ses problèmes. Aussi, de quel côté qu’on se tourne, ce qui guette les mollahs est un soulèvement menant à leur renversement.
Et nous disons à nouveau aux partisans des négociations de se dépêcher de négocier. Mais ils doivent savoir qu’avec ou sans l’accord nucléaire, avec ou sans les sanctions, il n’y a pas d’autre perspective que le soulèvement et le renversement des mollahs. S’ils intensifient la répression, le résultat ne sera pas différent. S’ils reculent et avalent la « coupe de poison » en brisant l’étau de la répression, ce sera bien mieux pour tout le monde et en particulier pour le peuple iranien.
Il y a trois ans, lors d’un rassemblement pour un Iran libre à Villepinte près de Paris, j’ai dit que « nous nous réjouissons de tout pas en arrière des mollahs » et que « mille coupes de poison serviront la cause des mille Achraf, ou bastions de résistance. »
Et j’ai souligné que « le renversement, le changement démocratique et l’instauration d’un Iran libre relèvent de notre responsabilité et de celle de notre peuple. »
Les progrès de la Résistance du peuple iranien
Chers compatriotes, partisans de la Résistance iranienne,
Dans l’année qui s’est écoulée (20 mars 2020 – 20 mars 2021), la Résistance iranienne a avancé chaque jour d’un pas dans sa lutte sans répit.
On peut voir journellement les activités et les opérations des unités de résistance dans tout le pays.
Nous avons fait de notre devoir quotidien d’informer en permanence sur l’épidémie du coronavirus, de participer à toutes les manifestations et revendications de la population et de dénoncer les crimes de l’ennemi.
Au niveau international, la résolution bipartite de la Chambre des représentants américaine avec 222 signatures en juin dernier et la 158e résolution du nouveau Congrès en faveur du plan en dix points de la Résistance iranienne et rejetant les dictatures du chah et des mollahs sont très claires. Les deux résolutions déclarent que le peuple iranien rejette la dictature monarchiste et s’oppose à la dictature religieuse.
L’étape suivante a été le verdict du tribunal de Hambourg rendu contre un article diffamatoire du Frankfurter Allgemeine, et ce après le verdict rendu contre les allégations du Spiegel, faisant la lumière sur la stratégie des mollahs et de leurs partisans pour diaboliser la Résistance iranienne.
Cette année également, sept rapporteurs de l’ONU ont reconnu le massacre des prisonniers politiques de 1988 en Iran comme un « crime contre l’humanité » et ont appelé à une enquête « approfondie » et « indépendante ».
Les rassemblements et conférences virtuelles internationaux de la Résistance iranienne, en particulier son rassemblement annuel, ont établi un nouveau record en utilisant les dernières technologies modernes au plus fort de la pandémie du coronavirus, reliant 30 000 sites dans 102 pays.
Et une autre étape importante a été la publication d’un rapport d’enquête de la Compagnie Treadstone Cyber Security, qui a révélé que la tempête de tweets contre la Résistance iranienne le 17 juillet 2020 avait été lancée par le réseau cybernétique des pasdarans en coopération avec le ministère du Renseignement des mollahs.
Il y a également le verdict historique du tribunal d’Anvers en Belgique, qui est la culmination du sacrifice des martyrs de la Résistance du peuple iranien face à la politique de complaisance de longue date. En plus des lourdes peines de prison, le verdict a révoqué les passeports et la nationalité des mercenaires du régime, faisant trembler ses agents du renseignement dans toute l’Europe.
Ici, au nom de mes compatriotes et des personnalités présents au rassemblement annuel de la Résistance en 2018 qui ont été la cible du complot d’attentat, j’appelle les gouvernements allemand, belge et français à publier sans la moindre considération tous les contenus et documents et noms et adresses obtenus dans les carnets du diplomate terroriste du régime. Aucun document ne doit être classé totalement confidentiel. Afin d’être à l’abri du terrorisme, de l’espionnage et de la campagne de diabolisation du régime, les services européens de divers pays doivent révéler les noms des agents et contacts travaillant avec le régime des mollahs et son ministère du renseignement sous le couvert de l’asile politique ou de la nationalité de ces pays. J’ai personnellement entendu de nombreux parlementaires et personnalités politiques dire qu’un certain nombre de ces mercenaires sont à la fois au service du ministère du renseignement des mollahs et au service des appareils de renseignement de pays européens. C’est l’une des ruses du renseignement des mollahs, qui forme ses agents à jouer un double jeu afin de les protéger contre poursuites et arrestations. Bien entendu, pour chaque pays attaché à la démocratie et aux droits humains, c’est une tache noire à éliminer.
A présent, en représailles à leur condamnation par le tribunal d’Anvers, les mollahs ont organisé un procès-spectacle pour juger les responsables de l’OMPI. Mais ce spectacle ridicule a été balayé par la fermeté du message éclairant de Massoud Radjavi qui a appelé Khamenei, Rohani et à Raïssi à se présenter devant un tribunal international. Cet appel a reçu un vaste soutien de nos compatriotes à l’intérieur du pays comme à l’étranger. Les mollahs ont de nouveau vu qu’ils s’étaient engagés dans une interaction dont ils sont les perdants.
Les unités de résistance, la flamme de l’espoir
Chers compatriotes,
Le grand progrès de la Résistance iranienne l’an dernier a été le soutien massif de la jeunesse courageuse iranienne à l’OMPI et le développement du réseau de ses partisans dans les villes d’Iran. Les vagues d’arrestations et d’intimidations tout comme la publication incessante de livres, de films, de feuilletons et de toutes sortes d’écrits contre l’OMPI en Iran visent tous à contrer la tendance de la jeune génération à se tourner vers l’OMPI.
Mais comme le disait notre chère artiste Marjan : Même si vous frappez, coupez et tuez (l’arbre), que ferez-vous avec les jeunes pousses ?
Oui, c’est ainsi que fleurit le printemps
Et c’est ainsi que les prisonniers Moudjahidine et résistants en captivité depuis dix, quinze ou même plus de 20 ans, restent fermes sur leurs positions. Ils rassemblent leurs compagnons de cellule et promeuvent l’espoir et la joie parmi les prisonniers. Ils célèbrent le Nouvel An même avec un simple morceau de sucre. Et quelle célébration et printemps plus heureux que de maintenir sa position contre l’ennemi de l’Iran et de tous les Iraniens ?
Les mères des martyrs célèbrent Norouz en se rassemblant sur les tombes de leurs enfants. Elles célèbrent Norouz en parlant de la bravoure, de la bonté, de la gentillesse et de l’humanité de leurs enfants. En vérité, Norouz n’est-il pas le moment de chérir et de promouvoir ces valeurs ?
Les ouvriers, les fonctionnaires, les enseignants et tous les travailleurs et les pauvres célèbrent le Nouvel An avec la chaleur de leur gentillesse. Ils forgeront les futurs soulèvements en développant la solidarité qui les lie. Et quelle fête plus heureuse que d’unir les cœurs et les volontés pour faire tomber le bourreau du siècle.
Et les Moudjahidine de la liberté, ceux qui ont mis en place l’organe de direction collective pour diriger les soulèvements, renforcent leur volonté et leur détermination avec de nouveaux engagements à poursuivre la lutte contre l’ennemi impitoyable et à réaliser le Norouz politique et social du peuple iranien.
Et quel meilleur Norouz que celui qui construit l’avenir et la liberté.
Oui, c’est avec ces cœurs pleins d’espoir et ces têtes pleines de grandes aspirations que nous pouvons bâtir l’Iran libre de demain. Il sera construit par les insurgés désintéressés et les combattants dévoués de la liberté.
Alors prions ensemble en ce passage à la nouvelle année :
Seigneur, ouvre le cœurs et l’esprit des gens pour qu’ils voient l’immense pouvoir de leur détermination et de leur mouvement.
Tu es celui qui fait émerger la lumière de la liberté des profondeurs des ténèbres du despotisme et de la tyrannie ;
Tu es celui qui fait tourner la roue du temps et des âges.
Fait triompher la souveraineté du peuple iranien sur le fascisme religieux et répand le printemps de la liberté dans tout l’Iran
Joyeux Norouz et bonne année 1400 à toutes et à tous !
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