Dans sa première conférence de presse, Raïssi, bourreau de 1988, révèle sa crainte d’être poursuivi pour crimes contre l’humanité
Maryam Radjavi : Raïssi, le bourreau, se dit fier de ses crimes contre l’humanité et a l’intention de les continuer. Raïssi et Khamenei n’échapperont pas à leur renversement. Ils doivent être traduits en justice. C’est le verdict de l’Histoire et ce que veut le peuple iranien.
Dans sa première conférence de presse post-électorale, Raïssi, bourreau du massacre de 1988 et assassin des Moudjahidine du peuple (OMPI/MEK), a exprimé sa crainte de poursuites internationales pour le massacre des prisonniers politiques et crimes contre l’humanité. Dans une fuite en avant, il n’a pas hésité à dire : « en tant que juriste, j’ai toujours défendu les droits du peuple. Les droits de l’homme constituent le point central que j’ai toujours suivi dans toutes mes responsabilités (…) Tout ce que j’ai entrepris a toujours été en défense des droits de l’homme. »
Il n’a pas pu eu peur de se ridiculiser en affirmant qu’il « devrait être félicité » pour avoir défendu les droits du peuple. Avec une impudence sans pareille, le bourreau de 1988 a ajouté : « Je suis fier qu’en tant que procureur, partout où je me trouve, de défendre les droits du peuple, la sécurité du peuple et le bien-être du peuple. »
Mme Maryam Radjavi a souligné : Il est évident que ce bourreau est fier de ses crimes contre l’humanité et qu’il a l’intention de les poursuivre. Mais il tente en vain de se débarrasser du sang des victimes du massacre de 1988. Et ce n’est que le début. Le peuple iranien n’oublie pas. Raïssi et Khamenei n’échapperont pas à leur renversement. Ils doivent être traduits en justice. C’est le verdict de l’Histoire et ce que demande le peuple iranien. Et cela se fera sans aucun doute.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 21 juin 2021
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